Comique de répétition.
Aujourd'hui je vous parle du cabinet de naturopathie et de honte.
Newsletter de Caroline Talbot
1 min ⋅ 21/11/2024
Chaque semaine, lorsque vient le moment de rédiger ma newsletter, je rencontre toujours un petit temps de “panique” en lien avec l’inspiration. “Que raconter cette fois ci ?”. D’ailleurs fait bien prévisible, depuis que j’ai commencé à écrire, j’observe la plupart des situations de vie sous le prisme de l’écriture car je sais que tout peut devenir potentiellement un sujet. Je n’ose imaginer ce qu’il doit se passer dans la tête des vrais créatifs, ceux dont c’est le métier et dont le confort de vie dépend de cette créativité. J’espère pour eux qu’ils font du yoga ! Cette semaine donc, je n’avais pas tellement d’idées car je traverse une période plutôt agréable et j’ai remarqué que mon inspiration allait souvent de paire avec l’inconfort.
Et puis Eurêka ! J’ai réalisé que la semaine dernière j’avais pris une décision importante en lien avec mes activités, qui en plus de me soulager m’apporte sur un plateau le sujet de jour. Cette décision concerne le cabinet de naturopathie que j’ai ouvert il y a environ deux mois et pour lequel je ne me suis pas vraiment battue ni investie. Cette décision, vous vous en doutez peut-être, c’est de le fermer.
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